Pas de suite judiciaire à l’affaire de la traduction pirate du dernier Harry Potter

Les éditions Gallimard et l’auteur de la saga, J. K. Rowling, ne se sont pas portés partie civile dans cette affaire, et le jeune homme à l’origine de cette traduction en français ne sera pas poursuivi.

A l’origine, c’est bien une plainte conjointe de l’avocat en France de J. K. Rowling et de Gallimard qui ont déclenché l’enquête de la Brigade centrale pour la répression des contrefaçons industrielles et artistiques.

Cette plainte visait « uniquement les réseaux organisés de traducteurs agissant de façon concertée dans le but de tirer profit directement ou indirectement de l’engouement du service », explique la maison d’édition dans un communiqué.

Ce n’était pas le cas de ce jeune lycéen de seize ans.

Fanch