Pop mail counter : un système d’alertes pour courriers électroniques

A l’instar du logiciel développé par Raizlabs, une nouvelle génération de clients compatibles avec les messageries électroniques gratuites (webmail) arrive aujourd’hui sur le marché américain.

Pop mail counter est un logiciel édité par la société américaine Raizlabs. Il guette l’arrivée de nouveaux messages dans les boîtes aux lettres électroniques de type ( Webmail et pop) et en alerte l’utilisateur. Sur l’ordinateur, le logiciel fonctionne en tâche de fond et relève le courrier à intervalles réguliers.

Contrairement à d’autres solutions, le produit est, selon son éditeur, compatible avec les serveurs gratuits disponibles aux Etats-Unis, comme Hotmail et Yahoo.

Malgré tout, lors de nos premiers essais, nous avons constaté que la version actuelle, qui ne fonctionne pour l’instant que sous Windows XP, n’était pas compatible avec certains serveurs de webmail comme Caramail et Voila. En revanche pas de problème sur un service POP comme celui de Free.

« Le logiciel n’est pour le moment disponible qu’en version bêta et est compatible avec les fournisseurs de comptes gratuits aux Etats-Unis », explique Gregory Raiz, président de Raizlabs.com.

« Pop mail counter est d’abord destiné à un usage en entreprise et aux utilisateurs qui possèdent une connexion permanente, il vient directement concurrencer les solutions existantes : Microsoft Outlook ou Lotus Notes . »

Installation et utilisation facile

L’installation est simple et ne prend que quelques minutes. Pour configurer un compte, l’utilisateur doit fournir l’adresse de la messagerie et ses identifiants.

Une fois le programme installé et correctement configuré, il va automatiquement scanner la boite aux lettres sur Internet et indique par une petite animation (signal sonore et ou un pop-up) la présence de nouveaux messages.

Pop mail counter se lance automatiquement au démarrage de Windows. Il apparaît sous la forme d’une petite icône et se range dans la barre des tâches à côté de l’horloge de Windows.

« Le logiciel sera disponible en version finale le 5 novembre, et sera compatible avec les différentes versions de Windows. Il n’est disponible qu’en anglais, cependant nous sommes en mesure de l’adapter à d’autres langues si la demande est importante », déclare Gregory Raiz.

Le logiciel sera distribué sous la forme d’un shareware que les particuliers pourront acheter pour environ dix dollars, soit un peu moins de dix euros. Des licences spécifiques seront aussi proposées pour les entreprises.

[source – 01net.com] Guillaume Cugier